Comment gagner du temps dans l’enregistrement et le suivi des interventions dans ses vignes ?
Comment faciliter les échanges avec ses salariés ?
Comment accéder plus facilement à la certification environnementale ?
La réponse à ces questions se trouve dans l’utilisation d’un logiciel de traçabilité comme Geofolia Viti.
Facile d’emploi, intuitif, cet outil facilite la gestion et l’organisation quotidienne des travaux sur l’exploitation.
Vous en doutez ? Voici cinq arguments pour vous convaincre.
Sommaire:
Enregistrer et tracer toutes les interventions sur une même interface
Le recours à un logiciel parcellaire, c’est avant tout l’assurance de ne rien oublier des interventions réalisées.
Finis les bouts de papier volants ou les « je le noterai plus tard ». Là, les saisies se font depuis le Smartphone dans le pulvé, dans les vignes, dans la voiture ou au bureau, sans avoir besoin d’une connexion internet.
En centralisant toutes les données sur une même interface, cet outil offre une cartographie claire de l’exploitation et une transparence du suivi de chaque parcelle : date d’encépagement, nombre de pieds, appellation, traitements réalisés, intervention à prévoir...
Une sécurité pour être en phase avec une réglementation de plus en plus exigeante et des cahiers des charges pointus, notamment pour les filières sous label ou appellation.
Une assurance aussi pour appliquer les bons produits à la bonne dose car en cas de saisie « non réglementaire » comme un mélange non autorisé, un produit non-adapté à la cible, ou une dose supérieure à celle homologuée, l’utilisateur reçoit une alerte pour corriger l’erreur identifiée par le logiciel.
Deux astuces pour gagner du temps
L’option « saisie groupée » offre la possibilité d’enregistrer une même intervention sur plusieurs parcelles et évite ainsi les saisies multiples avec à la clé, un gain de temps réel.
Autre astuce appréciée des chefs d’exploitation, le « bilan main d’œuvre » qui permet d’établir le temps passé, par chaque salarié, par culture, par parcelle ou par exploitation : des données utiles pour visualiser la répartition du temps de travail de chacun sur une période donnée. Une analyse aussi pour, potentiellement, procéder à quelques ajustements.
Anticiper et préparer les interventions
En période de pointe, pas simple de rester concentrer sur les tâches affectées à chaque salarié.
Alors pourquoi ne pas les anticiper, en planifiant, à l’avance, les tâches à réaliser, mois après mois, semaine après semaine sur chaque parcelle ? Concernant les traitements phytosanitaires, la cartographie intégrée dans l’application permet de visualiser la surface de chaque parcelle et ainsi aide au calcul de la quantité exacte de produit et de bouillie nécessaires pour réaliser l’ensemble des traitements de la journée : terminées les erreurs de calcul au moment de la préparation de la bouillie !
Une bonne façon d’anticiper et de mieux organiser ces journées, en répartissant les missions pour chaque salariés.
Faciliter les échanges avec les salariés
Une fois planifiées les tâches allouées à chaque salarié, le chef d’exploitation dispose de deux options.
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Soit il imprime la « fiche de travail » issue de la version Geofolia PC et la remet directement à ses collègues. Soit les salariés sont eux aussi équipés de l’application smartphone et les informations sont directement accessibles depuis leur portable.
Une fois les traitements réalisés, ne reste plus qu’à les valider, en vérifiant la date et en précisant, si besoin, les conditions climatiques (température, vitesse du vent...). Si les interventions n’ont pas été planifiées, aucun problème : elles peuvent être saisies à tout moment et par le salarié lui-même.
Optimiser la gestion des traitements
La palette des services offerts par les logiciels de gestion parcellaire ne cesse de s’élargir, à commencer par la possibilité de connecter plusieurs outils entre eux.
Ainsi, Geofolia Viti, dans le cadre de la plateforme Geofolia OAD, peut être relié à l’outil d’aide à la décision Rimpro pour surveiller le développement des contaminations de maladies (mildiou, blackrot, oïdium...) et ainsi, positionner au mieux les traitements fongicides et protéger plus efficacement les vignes.
Les données météo nécessaires pour alimenter cet outil proviennent soit de données spatialisées, soit de station météo installées au cœur des parcelles, à l’image de Météus. Une option qui valorise les données déjà enregistrées. Une option, synonyme de gain de temps et de performance, également très appréciée.
Simplifier le calcul des points dans le cadre de la HVE
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Viser la certification environnementale de niveau 3 (HVE), c’est obtenir 10 points dans chacun des quatre piliers : biodiversité, traitement phyto, fertilisation et irrigation.
Pour chacun de ces volets, le logiciel Geofolia aide les viticulteurs à y voir plus clair. Ainsi, en matière de biodiversité, cet outil facilite le repérage et la comptabilité des IAE, les Infrastructures agroécologiques, directement converties en SET (Surfaces équivalents topographiques).
Le suivi de l’enherbement des parcelles, avec un calcul précis des surfaces enherbées, est également disponible : autant d’éléments demandés lors de l’audit de certification.
Pour la partie produits phytosanitaires, Geofolia Viti calcule les IFT (Indice de fréquence de traitement) : par type de traitement, par parcelle ou pour l’exploitation. Là encore, cette option génère un vrai gain de temps.
Concernant les volets fertilisation et irrigation, des cahiers complets des doses apportées sont disponibles et exportables, si besoin, en cas de contrôle. Et dans les zones vulnérables, le ppf est également réalisable via le logiciel de gestion HVE et viticole Geofolia Viti.
